Des régimes tendance aux aliments surcotés en passant par ces produits qui sont devenus persona non grata en quelques années, de nombreuses théories nébuleuses viennent obscurcir l’essence même du bien manger. La preuve avec ces 10 idées reçues qui ont la vie dure !
Depuis 2016, cette grand-mère a mis en place un système de paiement à l’approche des fêtes de fin d’année. L’idée ? Que chaque membre de la famille participe financièrement au repas de Noël.
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En plus de prendre un temps fou et de générer une importante dose de stress, organiser un repas de Noël est souvent très onéreux. Saumon fumé, foie gras, huîtres, champagne, chocolats et autres petites gourmandises font en effet vite grimper la note. Et dans un contexte où l’inflation continue de contraindre les populations à revoir leur budget, les fêtes de fin d’année peuvent rapidement devenir un véritable gouffre financier.
Un système de paiement différent
Pour éviter de mauvaises surprises à la fin de l’année, Caroline Duddrige a décidé de mettre en place un système de paiement. Lasse de supporter seule la préparation du repas et les frais qui vont avec, cette grand-mère de 63 ans demande à chaque membre de sa famille de participer financièrement à l'organisation du dîner.
Depuis 2016, adultes et enfants sont ainsi sommés de lui verser un tarif fixe, établi en fonction de leur âge, au cours du mois de novembre. A la date du 1er décembre, Caroline fait les comptes et rappelle à l'ordre celles et ceux qui tenteraient de déroger à cette nouvelle tradition familiale.
Un tarif fixe pour chaque participant·e
“Pour les adultes, c’est jusqu’à 17€50 pour le repas. Mes petits-enfants de 12 ans et de 9 ans doivent débourser environ 5€50, et les deux autres de 3 ans sont facturés 2€80”, explique-t-elle dans les colonnes du Sun. Si un virement manque à l’appel, c’est simple : le responsable n’est tout simplement pas convié au dîner. “Ils pourraient penser qu’il est difficile d’imposer un prix sur les repas de Noël aux enfants, mais au final, c’est une leçon de vie. Mes petits-enfants, qui sont plus âgés maintenant, aiment m’aider à récupérer l’argent pour le repas, et ça, c’est important. (...) S’attendre à ce qu’une seule personne paie tout le repas, le prépare, utilise son chauffage et son électricité, c’est trop. Le montant que je facture pour le dîner comprend aussi l’impact sur ma facture d’électricité. C’est une évidence pour moi”, assure-t-elle.
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