Vous l’avez rencontré, il est charmant, vous êtes toute émoustillée ; c’est l’heure du premier rencard amoureux. Il a choisi de vous emmener dans l’un de ses restaurants fétiches. Vous avez pris le soin de bien vous accoutrer et soigner votre allure pour le faire succomber… Sauf qu’il serait dommage de tout faire foirer au moment de dîner ! Un bout de salade coincé entre les dents ? Une mauvaise haleine après avoir terminé de manger ? NON ! Voici 10 aliments à éviter de consommer lors de ce date.
C’est ce fameux « coup de vieux » que l’on redoute toutes et tous !
Notre apparence physique change brutalement à…
Ça y est, on connaît enfin les 2 âges où notre apparence physique change brutalement. Grâce à des chercheurs américains qui ont mené une grande étude à ce sujet et dont les résultats ont été publiés il y a quelques semaines dans la revue Nature Aging.
Pour déterminer les 2 âges où l’on vieillit d’un coup, les scientifiques de l’École de médecine de Stanford ont étudié les milliers de molécules et de microbes chez des personnes âgées de 25 à 75 ans. Et ils ont observé qu’ils changeaient davantage à certains moments de la vie qu'à d’autres, et plus précisément vers le milieu de la quarantaine et au début de la soixantaine.
« Il s’avère que le milieu de la quarantaine est une période de changement spectaculaire, tout comme le début de la soixantaine. Et cela est vrai quelle que soit la classe de molécules que l’on étudie », a expliqué Michael Snyder, professeur de génétique et auteur principal de l’étude, dans un communiqué.
Vieillir d’un coup à cause de mauvaises habitudes de vie
44 et 60 ans. Ce sont les deux âges où notre apparence physique change brutalement. Mais reste à savoir pourquoi. La question n’a pas encore été élucidée par les chercheurs.
« Si la ménopause ou la périménopause peuvent contribuer aux changements observés chez les femmes au milieu de la quarantaine, il existe probablement d’autres facteurs plus importants qui influencent ces changements tant chez les hommes que chez les femmes. L’identification et l’étude de ces facteurs devraient être une priorité pour les recherches futures », a déclaré Xiaotao Shen, Ph. D., ancien chercheur postdoctoral à l’École de médecine de Stanford et premier auteur de l'étude.
Toutefois, les scientifiques restent persuadés que certaines (mauvaises) habitudes de vie (alcool, tabac, sédentarité, junk food,…) ne sont pas anodines.
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