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10 phrases qu’un parent ne devrait plus prononcer

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Famille
Favoritisme parental : que faire quand on a un enfant préféré ?

Les mots des parents ont un impact profond sur la construction émotionnelle de l’enfant. Certaines phrases, parfois prononcées par fatigue ou automatisme, peuvent laisser des traces durables sur l’estime de soi, la confiance et la relation parent-enfant. Prendre conscience de ces formulations permet d’adopter une communication plus respectueuse et soutenante.

Pourquoi certaines phrases font plus de dégâts qu’on ne le pense

Le poids des mots dans l’enfance

Un enfant ne dispose pas encore du recul émotionnel nécessaire pour relativiser. Les paroles parentales sont souvent perçues comme des vérités absolues.

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Des phrases héritées

Beaucoup de parents répètent inconsciemment des phrases entendues dans leur propre enfance, sans mesurer leur impact actuel.

Parent : ce qui change vraiment entre le premier et le deuxième enfant ?


Les 10 phrases à éviter (et pourquoi)

1. « Arrête de pleurer, ce n’est rien »

Cette phrase minimise les émotions de l’enfant et lui apprend que ses ressentis ne sont pas légitimes. À long terme, elle peut freiner l’expression émotionnelle.

2. « Tu fais toujours n’importe quoi »

Les généralisations enferment l’enfant dans une étiquette négative et nuisent à sa confiance en lui.

3. « Regarde ton frère / ta sœur, lui au moins… »

Comparer crée rivalité, jalousie et sentiment d’infériorité. Chaque enfant a son propre rythme et ses compétences.

4. « Tu me déçois »

Très lourde émotionnellement, cette phrase peut provoquer un sentiment de rejet et une peur de ne jamais être à la hauteur.

5. « Dépêche-toi ou je pars sans toi »

Utiliser la peur de l’abandon pour obtenir l’obéissance génère insécurité et anxiété.

La parentalité paresseuse, c'est quoi ?

6. « Ce n’est pas si grave »

Même si l’intention est rassurante, cette phrase invalide le vécu émotionnel de l’enfant au lieu de l’aider à le traverser.

7. « Tu es méchant / paresseux / insupportable »

Attribuer une étiquette à l’enfant plutôt que de nommer un comportement nuit à la construction de son identité.

Enfant

8. « Si tu m’aimais, tu ferais ça »

Faire reposer l’obéissance sur l’amour culpabilise l’enfant et brouille le lien affectif.

9. « Arrête, tu me fatigues »

L’enfant peut interpréter cette phrase comme un rejet de sa personne, et non de son comportement.

10. « C’est de ta faute »

Accuser sans expliquer enferme l’enfant dans la culpabilité et empêche l’apprentissage de solutions.


Par quoi remplacer ces phrases ?

Nommer les émotions

Dire « Je vois que tu es en colère » ou « Tu as l’air triste » aide l’enfant à comprendre et réguler ses émotions.

Décrire le comportement, pas l’enfant

Il est préférable de dire « Ce comportement n’est pas acceptable » plutôt que de qualifier l’enfant lui-même.

Encourager plutôt que menacer

Les encouragements renforcent la coopération et la confiance, là où les menaces provoquent peur et opposition.


Personne n’est un parent parfait

L’erreur fait partie de l’apprentissage

Tous les parents prononcent parfois des phrases regrettables. L’essentiel est de savoir s’excuser et ajuster sa communication.

Réparer la relation

Reconnaître une parole blessante et en parler avec son enfant renforce le lien et lui apprend la responsabilité émotionnelle.

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Conclusion

Changer sa manière de parler à son enfant n’est pas une remise en question de l’autorité parentale, mais un acte de bienveillance et de respect. En évitant certaines phrases automatiques et en privilégiant une communication consciente, les parents offrent à leur enfant un cadre sécurisant pour grandir, s’exprimer et développer une estime de soi solide. Les mots peuvent blesser, mais ils peuvent surtout réparer et construire.

Enfant

Questions fréquentes

Les parents devraient éviter des phrases comme « Arrête de pleurer, ce n’est rien », « Tu fais toujours n’importe quoi », « Regarde ton frère/ta sœur, lui au moins… », ou encore « Tu me déçois ». Ces expressions peuvent blesser l'enfant, nuire à sa confiance en lui et freiner l'expression de ses émotions.

Changer sa manière de s'exprimer envers son enfant est un acte de bienveillance qui crée un cadre sécurisant. Une communication consciente permet à l'enfant de grandir, de s'exprimer librement et de développer une estime de soi solide, tout en renforçant le lien affectif.

Il est conseillé de nommer les émotions en disant par exemple « Je vois que tu es en colère » plutôt que de minimiser les sentiments, de décrire le comportement (« Ce comportement n’est pas acceptable ») sans étiqueter l'enfant, et d'encourager plutôt que de menacer pour renforcer la confiance et la coopération.

Les phrases accusatrices comme « C’est de ta faute » ou « Si tu m’aimais, tu ferais ça » culpabilisent l’enfant, brouillent le lien affectif et installent peur ou insécurité, ce qui peut empêcher l’apprentissage de solutions et nuire à sa confiance en lui.

Personne n’est un parent parfait : reconnaître et s’excuser lorsqu’on utilise une parole blessante permet de réparer la relation. En en parlant avec son enfant, on renforce le lien affectif tout en lui apprenant la responsabilité émotionnelle et l’importance de la bienveillance.


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