Connaissez-vous les boissons électrolytiques ? Souvent appelées boissons de réhydratation, celles-ci sont conçues pour compenser les pertes de minéraux et d'eau que l'on subit lors d'une activité physique intense. Elles contiennent des électrolytes essentiels tels que le sodium, le potassium et le magnésium, qui jouent un rôle clé dans l'équilibre hydrique du corps.
Ce n’est pas le nombre de pas, mais le rythme de la marche qui serait important pour perdre plus de poids !
Selon une nouvelle étude publiée dans la revue bioRxiv, ce n’est pas le nombre de pas, mais le rythme de la marche qui serait important pour augmenter la dépense métabolique, et donc perdre plus de poids.
La marche pour perdre du poids
Et si le nombre de kilomètres parcourus en marchant importait peu sur la dépense métabolique/calorique ? C’est du moins ce que prétendent des chercheurs après avoir réalisé une nouvelle étude publiée dans la revue bioRxiv.
Selon eux, ce n’est pas le nombre de pas, mais le rythme de la marche qui serait important pour augmenter la dépense métabolique, et donc perdre plus de poids.
« Nous supposons que des variations plus fréquentes et plus importantes de la longueur des pas augmentent votre dépense métabolique pendant la marche », a en effet indiqué l’un des auteurs de l’étude nommé Adam Grimmitt.
Est-ce que 30 minutes de marche par jour fait maigrir ?
À quel rythme faut-il marcher pour maigrir rapidement ?
Pour arriver à de telles conclusions, les scientifiques ont analysé la marche de 18 adultes en bonne santé, âgés de 24 ans et pesant 70,5 kg, en moyenne.
Lors d’un premier test, les participants ont dû marcher normalement, à cadence constante, pendant 5 minutes sur un tapis roulant. La foulée moyenne était de 1,2 mètre par seconde. Lors d’un second test, les participants ont continué à marcher sur un tapis roulant, mais avec une foulée différente. Par rapport à la foulée moyenne, les positions variaient de 5 à 10 %, en plus ou en moins. Pendant ce deuxième test, les adultes étaient équipés d'un embout buccal mesurant leur taux de production de dioxyde de carbone.
À la fin de ces deux tests, les chercheurs ont observé que la dépense métabolique était plus grande lorsque les foulées avaient été inégales. En effet, pour chaque augmentation de 1% de la variabilité des pas, il y avait eu une hausse de 0,7% de l'énergie utilisée.
« D’après nos données, une augmentation de 2,7 % de la variabilité de la longueur des pas augmenterait la dépense métabolique de 1,7 %, expliquent les auteurs. La variabilité de la longueur des pas joue un rôle modeste, mais significatif, dans la dépense métabolique de la marche », a précisé Adam Grimmitt.
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