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3 erreurs que l’on fait tous avec le sel

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personne qui rajoute du sel dans son plat

Le sel est présent dans toutes nos cuisines. Un ingrédient si courant qu’on en oublie parfois qu’il a un vrai impact sur notre santé et sur le goût de nos plats. On sale automatiquement, par habitude, sans vraiment y penser. Pourtant, un mauvais usage du sel peut ruiner un plat… ou peser sur notre bien-être. Voici trois erreurs que nous faisons tous (ou presque) avec le sel, et surtout comment les corriger pour mieux cuisiner, mieux manger, et mieux se sentir.

Erreur n°1 : Saler sans goûter
C’est l’erreur la plus fréquente et la plus facile à éviter. On sale dès le début, on ajoute une pincée en cours de cuisson, et encore une à table… sans jamais vérifier ce que ça donne. Résultat : on finit avec un plat trop salé, ou au contraire, fade. Saler sans goûter, c’est comme cuisiner les yeux fermés. Chaque ingrédient a sa propre saveur et son taux de sel naturel. Un bouillon cube, un fromage, un jambon, une sauce industrielle… tout cela peut déjà contenir du sel en quantité. En ajoutant du sel sans vérifier, on dépasse vite la dose idéale, et le plat perd en équilibre.

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La solution ? Goûter systématiquement avant d’ajouter du sel. Même en cours de cuisson. Et ajuster avec finesse. Une petite pincée peut suffire à faire ressortir les arômes. En cuisinant plus consciemment, on redécouvre aussi le vrai goût des aliments. Et souvent, on se rend compte qu’on n’a pas besoin de saler autant que ce qu’on pensait.

Erreur n°2 : Croire que tous les sels se valent
Du sel, c’est du sel, non ? Et pourtant, il existe une grande variété de sels, chacun avec ses spécificités. Le sel de table classique, raffiné, est très concentré et parfois enrichi en iode. Il se dissout vite, mais peut manquer de relief. À l’inverse, les sels non raffinés comme le sel de Guérande, la fleur de sel ou le sel rose de l’Himalaya contiennent d’autres minéraux et offrent des textures et des saveurs différentes.

Mais ce n’est pas qu’une question de goût. Tous les sels ne se comportent pas pareil à la cuisson. Certains fondent rapidement, d’autres restent croquants. Certains conviennent pour assaisonner une salade, d’autres pour une viande ou un poisson grillé. En utilisant toujours le même sel, on perd en richesse culinaire. Et parfois, on surcharge sans le savoir.

Pour tirer le meilleur parti du sel, pensez à varier les types de sel selon l’usage. Le sel fin pour l’eau de cuisson ou les sauces. La fleur de sel en finition, juste avant de servir. Le gros sel pour les cuissons longues ou les légumes vapeur. Cela vous permet de saler moins… mais mieux. Le plaisir est là, sans excès.

Erreur n°3 : Trop saler pendant la cuisson et négliger les alternatives
On pense souvent que plus tôt on sale, mieux c’est. Mais ce n’est pas toujours vrai. Certains aliments absorbent beaucoup de sel à la cuisson (les pommes de terre, par exemple), tandis que d’autres le rendent rapidement perceptible (les sauces, les soupes). Si on sale trop en début de cuisson, on risque d’en faire trop, car les saveurs évoluent avec le temps et la réduction. Et une fois que c’est trop salé, difficile de faire marche arrière.

Il vaut mieux saler progressivement, en plusieurs étapes, et goûter à chaque fois. Et surtout, ne pas oublier qu’il existe plein d’autres moyens de relever un plat. Les herbes fraîches, les épices, les agrumes, le vinaigre, l’ail, l’oignon, le gingembre, la moutarde… Tous ces ingrédients peuvent apporter du goût sans une goutte de sel supplémentaire. En les utilisant bien, on réduit naturellement sa consommation de sel sans jamais sacrifier la saveur.

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Vous pouvez aussi miser sur les produits fermentés (comme le miso ou la sauce soja réduite en sel), les graines torréfiées, les huiles aromatisées. Le but n’est pas de supprimer le sel, mais de le rééquilibrer. En cuisine, c’est souvent la variété des arômes qui fait la différence.

Le vrai problème : on consomme trop de sel sans le savoir
L’Organisation mondiale de la santé recommande de ne pas dépasser 5 grammes de sel par jour. Mais en réalité, nous en consommons souvent bien plus. Et pas seulement à cause de ce qu’on ajoute nous-mêmes. Le sel est présent partout : pain, fromages, charcuterie, sauces toutes faites, plats préparés, biscuits salés… On mange du sel même quand on ne sale pas. C’est pourquoi chaque geste compte.

En cuisinant plus maison, en goûtant avant de saler, en variant les types de sel, en découvrant d’autres façons de relever un plat, on peut facilement réduire sa consommation sans frustration. Le palais s’adapte vite. En quelques semaines, on perçoit mieux le goût naturel des aliments, on apprécie plus les saveurs douces… et on se sent souvent plus léger, moins gonflé, plus en forme.


Saler sans goûter, utiliser toujours le même sel, négliger les alternatives naturelles… Ce sont des erreurs courantes, mais faciles à corriger. Le sel n’est pas notre ennemi, il est même indispensable à notre équilibre. Mais encore faut-il bien l’utiliser. En étant plus attentif à la qualité, à la quantité et au moment où on l’ajoute, on transforme ses plats… et on fait du bien à son corps.

Et si, dès ce soir, vous testiez une recette sans sel ajouté, juste avec des épices et des herbes ? Vous pourriez être surpris par la richesse des saveurs. Parfois, saler moins, c’est goûter plus.

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