PROMO : -50% sur tout CROQ avec le code PLAISIR50 JE ME LANCE

Je mange pour combler un vide, que faire ?

Découvrez les 16 menus CROQ
Psychologie
Femme qui mange des gâteaux devant son frigo

Vous arrive-t-il de grignoter sans faim réelle ? D’ouvrir le placard ou le frigo sans même savoir ce que vous cherchez ? De manger parce que vous vous sentez triste, seul(e), stressé(e) ou fatigué(e) ? Si la réponse est oui, vous n’êtes pas seul(e). Beaucoup d’entre nous mangent pour apaiser un manque émotionnel plutôt qu’une vraie faim. Ce n’est pas une faiblesse, c’est une façon d’essayer de se réconforter. Mais bonne nouvelle : il existe des moyens simples et bienveillants pour reprendre le contrôle, sans culpabilité.

Comprendre la faim émotionnelle

Avant tout, il est important de distinguer la faim physique de la faim émotionnelle.

Bannière FITNESS
  • La faim physique arrive progressivement. Elle se ressent dans le corps (ventre qui gargouille, baisse d’énergie). Elle se satisfait avec n’importe quel aliment, et elle disparaît une fois rassasié.

  • La faim émotionnelle, elle, surgit soudainement. Elle pousse vers des aliments réconfortants (sucrés, gras, salés). Et surtout, elle ne comble pas : après avoir mangé, le vide ou la culpabilité reviennent souvent.

Manger pour se consoler n’est pas une faute : c’est un mécanisme de protection. Mais à long terme, il ne résout pas la cause du vide, il l’endort temporairement.


Pourquoi mangeons-nous pour combler un vide ?

Ce vide peut venir de nombreuses choses : un manque d’attention, une solitude, un stress latent, une fatigue émotionnelle ou physique, un besoin d’affection ou de repos non comblé. Manger procure alors une sensation immédiate de réconfort, car cela active la dopamine et les endorphines, les hormones du plaisir.

Le problème, c’est que cet apaisement ne dure que quelques minutes. Et souvent, il s’accompagne d’un sentiment de perte de contrôle ou de culpabilité. Alors, comment casser ce cercle sans se priver, sans se juger ?


Étape 1 : reconnaître le besoin caché

Quand l’envie de manger apparaît, posez-vous une question simple :
« Ai-je faim dans mon corps ou dans mon cœur ? »

Prenez un instant pour respirer et observer ce que vous ressentez :

  • Ai-je faim physiquement ou est-ce une émotion (ennui, colère, solitude, tristesse) ?

  • Qu’est-ce que je cherche à apaiser ?

  • Que pourrais-je faire d’autre pour répondre à ce besoin ?

Reconnaître l’origine de cette faim, c’est déjà un grand pas vers plus de conscience et moins de compulsion.


Étape 2 : remplacer l’automatisme par un geste qui nourrit autrement

Si la faim est émotionnelle, le corps n’a pas besoin de nourriture, mais d’attention. Essayez de combler autrement ce vide :

  • Bougez : sortez marcher, étirez-vous, respirez profondément.

  • Exprimez ce que vous ressentez : écrivez, parlez à un proche, mettez des mots sur ce que vous traversez.

  • Créez une sensation agréable : prenez une douche chaude, écoutez de la musique, regardez un film qui vous détend.

  • Offrez-vous un vrai moment de douceur, sans jugement : un thé, une couverture, un instant pour vous.

Bannière FAMILY

L’idée n’est pas d’interdire la nourriture, mais de diversifier vos sources de réconfort.


Étape 3 : réconciliez-vous avec la nourriture

Quand on mange pour combler un vide, la culpabilité vient souvent renforcer le malaise. Pourtant, se juger ne fait qu’entretenir le cycle : émotion → nourriture → culpabilité → nouvelle émotion.

Apprenez à manger en conscience :

  • Servez-vous une vraie portion, asseyez-vous, savourez lentement.

  • Observez le goût, la texture, la sensation.

  • Donnez-vous la permission de profiter, sans honte.

Plus vous serez à l’écoute de vos sensations, plus votre corps saura reconnaître la vraie faim.


Étape 4 : rééquilibrer son quotidien

Souvent, la faim émotionnelle s’installe parce que le quotidien est trop chargé… ou trop vide. Pour rétablir l’équilibre, prenez le temps de nourrir vos autres besoins :

  • Dormez suffisamment : la fatigue amplifie les fringales.

  • Planifiez des moments de plaisir (autres que la nourriture).

  • Entourez-vous : un appel, un café avec un ami, un sourire partagé suffisent parfois.

  • Structurez vos repas : trois repas équilibrés par jour limitent les craquages impulsifs.

Nourrir son corps, c’est aussi nourrir son mental et ses émotions.


Étape 5 : quand demander de l’aide

Si vous avez l’impression que la nourriture est devenue votre refuge principal, si les grignotages se répètent malgré vos efforts, ou si la culpabilité devient lourde, il peut être utile d’en parler. Un nutritionniste, un psychologue ou un coach spécialisé en comportement alimentaire peut vous aider à comprendre vos déclencheurs et à rétablir une relation plus apaisée avec la nourriture.

Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse. C’est un acte de courage, un pas vers plus de liberté et d’équilibre.


 

Manger pour combler un vide, c’est souvent un moyen de dire : « J’ai besoin de douceur, d’attention, d’écoute ». Ce n’est pas un manque de volonté, mais un signal de votre corps et de votre cœur. En apprenant à reconnaître vos vraies faims, à écouter vos émotions et à trouver d’autres façons de vous apaiser, vous reprendrez le contrôle… en douceur. Et petit à petit, la nourriture redeviendra ce qu’elle doit être : un plaisir, pas une échappatoire.

Bannière ARTICLE60
Alimentation saine Troubles alimentaires Émotion

Donnez-nous votre avis !

Logo étoile vide Logo étoile vide Logo étoile vide Logo étoile vide Logo étoile vide
|
comment était l'article ?
Envoyer mon avis

Merci pour votre retour.

Mangez mieux avec les menus CROQ pour

fire

Perte de poids

fire

Contrôler mon diabète, mon cholestérol ou mes troubles digestifs

fire

Vivre sereinement la grossesse, les repas en famille, la ménopause

Choisissez votre menu

CROQ est un rééquilibrage alimentaire sur mesure à l’aide de menus personnalisables et plus de 5 000 recettes gourmandes

CROQ, comment ça marche ?

Sur le même sujet