'Je mangeais pour combler un vide… Aujourd’hui je me reconstruis avec CROQ'
Par Catherine Duchamps
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“J’ai appris à me réconcilier avec la nourriture” : le témoignage de Bianca, 45 ans Pendant des années, Bianca a vécu dans l’ombre d’un trouble alimentaire méconnu mais destructeur : l’hyperphagie. Cette compulsion la poussait à manger de grandes quantités de nourriture, sans faim réelle, suivie d’une immense culpabilité. À 45 ans, elle a décidé qu’il était temps de reprendre le contrôle de sa vie. Avec l’aide d’un psychologue et les menus CROQ, elle a entamé un nouveau chemin vers l’apaisement et la sérénité.
Vivre avec l’hyperphagie : une prison invisible
“Ce n’était pas juste de la gourmandise. L’hyperphagie contrôlait ma vie. Je pouvais manger en cachette, engloutir des quantités énormes en peu de temps, puis me sentir vide et honteuse. J’avais peur du regard des autres et je me sentais seule face à ce problème.”
Comme beaucoup de personnes souffrant de TCA (troubles du comportement alimentaire), Bianca se battait contre un cercle vicieux : restriction, crise, culpabilité, et à nouveau restriction.
Le déclic : demander de l’aide
Un jour, Bianca a compris qu’elle ne pouvait plus avancer seule.
“J’ai pris rendez-vous avec un psychologue spécialisé. Ça a été une libération de mettre des mots sur ma souffrance. Comprendre que je n’étais pas ‘faible’, mais malade, m’a beaucoup aidée.”
Avec ce soutien psychologique, elle a commencé à identifier les émotions et situations déclencheuses de ses crises.
Découvrir les menus CROQ
En parallèle, Bianca a cherché une façon plus apaisée de gérer ses repas.
“J’avais besoin de retrouver un cadre alimentaire sain, sans privation ni frustration. C’est là que j’ai découvert les menus CROQ. Ce que j’ai aimé, c’est leur équilibre et leur simplicité. Ce n’est pas un régime, c’est une façon d’apprendre à manger correctement.”
Réapprendre à manger sans culpabiliser
Les menus CROQ lui ont permis de poser un nouveau regard sur l’alimentation :
Des repas structurés : fini le chaos alimentaire, chaque repas avait du sens.
Des portions adaptées : elle a appris à écouter ses signaux de faim et de satiété.
Des recettes variées : elle a redécouvert le plaisir de cuisiner sans excès.
“Au début, j’avais peur d’avoir encore faim. Mais très vite, j’ai vu que je pouvais être rassasiée avec des repas équilibrés. Et surtout, je n’avais plus ce besoin de compenser.”
Un nouvel équilibre
Aujourd’hui, Bianca n’affirme pas que tout est réglé. L’hyperphagie est un combat au long cours. Mais elle a franchi une étape essentielle : elle se sent actrice de sa guérison.
“Je n’ai plus cette impression d’être esclave de la nourriture. J’apprends à gérer mes émotions autrement, et les menus CROQ m’aident à retrouver de la stabilité au quotidien. C’est comme si je posais des briques solides pour reconstruire ma relation avec mon corps et mon assiette.”
Son message aux autres
Bianca tient à transmettre un message d’espoir :
“Si vous souffrez d’hyperphagie, sachez que vous n’êtes pas seuls. Ce n’est pas une question de volonté, mais un trouble qui mérite d’être accompagné. Avec l’aide d’un psy et des outils comme CROQ, on peut avancer pas à pas vers plus de sérénité. Je ne cherche plus la perfection, je cherche juste la paix. Et ça, c’est déjà une victoire.”
Le témoignage de Bianca illustre que même face à un trouble alimentaire lourd comme l’hyperphagie, il est possible de retrouver un équilibre. Grâce à un suivi psychologique et aux menus CROQ, elle a appris à structurer son alimentation, à réduire ses compulsions et à renouer avec une relation plus sereine à la nourriture.
👉 Son histoire montre que la guérison ne passe pas par la culpabilité, mais par l’écoute, l’accompagnement et des outils adaptés.
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