Le sucre occupe une place importante dans notre alimentation, qu’il s’agisse de sucres naturels présents dans les fruits ou de sucres ajoutés dans les pâtisseries et autres gourmandises. Cependant, tous les moments de la journée ne sont pas égaux lorsqu’il s’agit de consommer du sucré. Bien gérer le moment où vous mangez des aliments sucrés peut vous aider à optimiser votre énergie, éviter les coups de fatigue et réduire les fringales. Alors, à quel moment de la journée est-il préférable de manger du sucré ? Voici une analyse complète et des conseils pour équilibrer vos apports en sucre.
Sommaire
Nous sommes tous différents. Nos goûts, nos corps, nos caractères, nos envies, nos idéaux, tout nous différencie. Alors forcément, concernant nos besoins, il en va de même. Pourtant, il existe des lignes de conduite, des moyennes. Celles-ci sont intéressantes mais à condition de les voir comme des indicateurs, pas come des règles absolues. Car selon votre mode de vie, l’apport calorique quotidien peut changer du tout au tout. Alors jetons un œil ensemble sur ces indicateurs et sur les facteurs qui les influencent.
Les calories, pourquoi ?
On les diabolise et on les évite. Alors que nous en avons besoin. Ce sont elles qui nous procurent l’énergie dont nous avons besoin au quotidien. Une fois n’est pas coutume, pour qu’elles ne deviennent pas vos pires ennemies, il sera question de quantités et d’équilibre. Votre besoin calorique journalier dépend directement, et fort logiquement, de vos dépenses énergétiques. Mais sachez que notre corps brûle un certain nombre de calories en permanence. Toutes nos fonctions vitales fonctionnent 24H/24. Notre cerveau, nos muscles, notre système digestif…, tous consument des calories constamment. Tout ceci constitue le métabolisme de base. C’est cette quantité d’énergie que l’on brûle lorsque l’on dort ou que l’on est au repos. Et celle-ci diffère d’une personne à l’autre.
Pas tous logés à la même enseigne
Le métabolisme de base, qui intervient dans vos dépenses énergétiques, n’est pas le seul à l’influencer. Votre niveau d’activité physique quotidien, votre activité professionnelle, si vous avez des enfants, un chien à promener, des escaliers à monter, des loisirs actifs ou non, votre caractère,…, tout cela modifie significativement les calories dont vous avez besoin au quotidien. Ainsi, en fonction de nos modes de vie respectifs, nous ne sommes pas égaux quant à la quantité de calories à consommer pour compenser ces dépenses. Donc on arrête de se prendre la tête en pensant à sa cousine ou sa collègue qui peut manger tout et n’importe quoi sans prendre un gramme ! Nous sommes tous différents face à la gestion du poids.
Le bon compte
Parlons des choses sérieuses maintenant. Même si, vous l’aurez bien compris, il ne faut pas s’arrêter sur les chiffres puisque d’autres facteurs viennent influencer votre besoin en calories par jour. Pour calculer vos besoins, il y a plusieurs méthodes. Une diététicienne, habilitée pour ce genre d’exercice, utilisera des formules bien spécifiques, et un chouia barbares, mais efficaces ! Sinon, on utilise ces fameuses moyennes caloriques quotidiennes :
- Femme de 20 à 40 ans, activité physique moyenne : 1900 kcal
- Femme de 20 à 40 ans, activité physique soutenue : 2125 kcal
- Femme de 41 à 60 ans, activité physique moyenne : 1750 kcal
- Femme de 41 à 60 ans, activité physique soutenue : 2000 kcal
Une question d’équilibre
Dans votre objectif de perte de poids, la notion de calories est essentielle puisque c’est à partir de là que tout se joue. Perdre du poids, c’est dépenser plus de calories qu’en consommer. Imaginez, aujourd’hui vous avez dépensé 2000 kcal. Si l’ensemble de vos apports nutritionnels correspond à plus de 2000 kcal, vous stockerez le surplus. S’il est égal, vous maintenez un poids stable. S’il est inférieur, votre corps ira puiser dans ses réserves pour compenser. Dans un processus de perte de poids, on cherche donc à créer un léger déficit et inciter le corps à puiser dans ses réserves. Dans la matière grasse en l’occurrence. Il ne faut pas non plus que l’écart soit trop important sinon le corps puise dans d’autres tissus importants comme la masse musculaire par exemple. Et cela peut provoquer différents troubles comme de la fatigue, une baisse de tonus, etc. Vous comprenez bien maintenant que 200 kcal peuvent vite faire la différence. Et 200 kcal ça correspond à 2 verres de coca, ½ cheeseburger… Cela va très vite !
L’avis de la diététicienne : évitez les calculateurs de calories sur le net qui sont bien trop aléatoires puisqu’ils ne tiennent pas compte de tous les facteurs déterminants.
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