“Je ne veux plus maigrir, je veux vivre” : comment Marise a retrouvé la paix avec l’alimentation grâce aux menus CROQ
Par Ameline Lieb
Publié le

Sommaire
- Une histoire marquée par les troubles alimentaires
- L’accompagnement psy, une étape essentielle
- Le déclic : redonner une place positive à la cuisine
- Réapprendre à manger... sans se juger
- Le plaisir de cuisiner pour soi… et pour les autres
- Une approche sans pression, durable et bienveillante
- Son message à ceux qui traversent la même épreuve
Pendant longtemps, Marise a vécu dans un rapport conflictuel à la nourriture. Diagnostiquée boulimique dès l’adolescence, elle a enchaîné les régimes, les compulsions, les restrictions… et les phases de culpabilité. Une spirale épuisante, à la fois physique et émotionnelle, dans laquelle elle ne voyait plus d’issue.
Aujourd’hui, Marise ne cherche plus à maigrir. Elle veut retrouver une relation sereine et équilibrée avec l’alimentation, et surtout, vivre pleinement. Grâce à un accompagnement psychologique et aux menus CROQ, elle a réussi, en quelques mois, à transformer son quotidien. Et surtout, à renouer avec une chose essentielle : le plaisir de manger.
Une histoire marquée par les troubles alimentaires
Marise a toujours eu une relation complexe avec la nourriture. "J’ai commencé à faire des régimes à 14 ans. C’était censé être temporaire, mais très vite, j’ai basculé dans l’obsession : je comptais tout, je me pesais tous les jours, je mangeais en cachette, je me punissais avec des journées sans rien."
La boulimie s’est installée progressivement. "Je perdais le contrôle, je mangeais de grandes quantités sans pouvoir m’arrêter, puis je culpabilisais énormément." Un cercle vicieux qui a duré des années, malgré des tentatives répétées pour s’en sortir.
L’accompagnement psy, une étape essentielle
"Ce qui m’a aidée à tenir, c’est ma psychologue. Elle m’a permis de mettre des mots sur ce que je vivais, de comprendre que je n’étais pas seule, que ce n’était pas une question de volonté ou de faiblesse."
Avec elle, Marise a entamé un travail de fond sur son rapport au corps, à l’estime de soi, à la culpabilité. Mais il manquait encore une pièce au puzzle : retrouver des repères concrets dans l’assiette, sans retomber dans le contrôle extrême.
Le déclic : redonner une place positive à la cuisine
"Je voyais les repas comme un danger. J’évitais de cuisiner, j’achetais des produits déjà prêts, et je grignotais n’importe quoi dès que je stressais." Marise voulait casser ce schéma, mais ne savait pas par où commencer.
C’est là qu’elle découvre les menus CROQ, pensés pour manger sainement sans se compliquer la vie. "Ce n’est pas un régime. C’est ce qui m’a tout de suite attirée. Il n’y avait pas de pesée, pas de calcul. Juste des idées de repas simples, gourmands, équilibrés, accessibles."
Réapprendre à manger... sans se juger
Dès les premières semaines, Marise sent une différence. "Je n’ai plus cette pression constante. Les menus me donnent un cadre, mais souple. Si je dévie un peu, ce n’est pas grave. Et surtout, je redécouvre des aliments que j’avais bannis à tort : les féculents, le fromage, les sauces maison..."
Elle réapprend à écouter sa faim, à reconnaître ses envies, à respecter sa satiété. "J’ai arrêté de me dire que je dois tenir jusqu’à telle heure. Si j’ai faim, je mange. Si je n’ai plus faim, je m’arrête. Ce sont des choses simples, mais qui changent tout."
Le plaisir de cuisiner pour soi… et pour les autres
Autre changement important : Marise s’est remise à cuisiner, avec envie. "Je me suis surprise à prendre plaisir à préparer des plats pour mes enfants, à essayer de nouvelles recettes, à m’organiser pour faire les courses différemment."
Elle associe désormais la cuisine à un moment de partage, de créativité, et non plus à une source d’angoisse. "C’est devenu un moment à moi. Même quand je suis fatiguée, je sais que me faire un petit plat chaud, c’est aussi une façon de prendre soin de moi."
Une approche sans pression, durable et bienveillante
Aujourd’hui, Marise ne parle plus de poids, mais de bien-être. Elle ne se fixe plus d’objectifs sur la balance, mais sur son équilibre intérieur. "Je me sens plus en paix. Je n’ai plus ces épisodes de boulimie. J’ai encore des jours plus durs que d’autres, bien sûr, mais je ne me laisse plus happer."
Les menus CROQ l’aident à garder un cap, sans rigidité. "Ce n’est pas une méthode miracle, c’est un outil qui m’a permis de reconstruire une relation saine avec l’alimentation, à mon rythme, en douceur."
Son message à ceux qui traversent la même épreuve
"Je veux dire à toutes les personnes qui vivent ce que j’ai vécu : vous n’êtes pas seul(e). Il n’y a pas de honte à avoir des troubles alimentaires. Ce n’est pas un caprice, c’est une vraie souffrance. Mais on peut s’en sortir. Il faut être entouré, patient, bienveillant avec soi-même."
Et surtout, Marise insiste : "Il ne faut pas chercher à maigrir pour se sentir mieux. Il faut chercher à se respecter, à se nourrir, à se reconnecter à soi. Le reste suit naturellement."
Marise est la preuve qu’on peut transformer son rapport à la nourriture sans tomber dans les extrêmes. Grâce à un accompagnement psy et au soutien des menus CROQ, elle a trouvé un nouvel équilibre : plus de plaisir, moins de culpabilité, plus de douceur.
Son parcours nous rappelle une chose essentielle : bien manger, ce n’est pas se punir. C’est se faire du bien, chaque jour, avec simplicité.
Et si, vous aussi, vous faisiez de l’assiette un espace de liberté et de réconciliation ?
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