Le dîner est un repas crucial pour votre équilibre alimentaire, surtout si vous souhaitez maintenir ou perdre du poids. Certains plats, bien que savoureux, peuvent être particulièrement caloriques et lourds à digérer, ce qui peut nuire à vos objectifs de minceur. Voici 10 plats qui peuvent faire grossir s’ils sont consommés régulièrement au dîner, et pourquoi il vaut mieux les éviter ou les consommer avec modération.
Sommaire
On aimerait tou·te·s garder la ligne sans fournir le moindre effort mais hélas, perdre du poids de façon saine, durable et efficace demande un peu de rigueur ! Cela dit, rassurez-vous, en misant sur une alimentation équilibrée, la pratique régulière d’activités physiques et une bonne motivation, il est possible de maigrir rapidement sans mettre sa santé en danger. Explications !
Si de nombreux régimes amincissants promettent une perte de poids profonde en un temps record, les résultats ne sont pas toujours à la hauteur de nos attentes. Rappelons tout d’abord que perdre une dizaine de kilos en un mois n’a absolument rien de naturel. Alors, certes, la restriction calorique peut être efficace sur le court terme mais dans la durée, celle-ci ne fonctionne pas. Pourquoi ? On vous explique !
Pourquoi les régimes alimentaires drastiques sont une mauvaise idée
Ces programmes minceur aux méthodes extrêmes se révèlent inefficaces sur la durée pour plusieurs raisons :
- Ils sont très difficiles à tenir et génèrent ainsi beaucoup de frustrations. Ils nous exposent de ce fait davantage aux craquages, au sentiment de culpabilité et à l’échec
- Les kilos perdus sont automatiquement repris dès que l’on se met à réintroduire les aliments bannis. C’est ce qu’on appelle l’effet “yo-yo”
- On perd en masse musculaire, or nos muscles jouent un rôle clé dans le fonctionnement du métabolisme puisqu’ils le stimulent
- Ils nous exposent aux carences nutritionnelles qui peuvent être à l’origine de différents problèmes de santé, comme la chute de tension, l’insomnie, la perte des cheveux, l’anémie ou encore une extrême fatigue
- Priver son corps de nourriture (ou ne pas lui donner assez à manger) peut également nous exposer aux troubles alimentaires.
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Perdre du poids rapidement et sur le long terme grâce au rééquilibrage alimentaire
C’est pourquoi les experts de la nutrition recommandent plutôt d’opter pour un rééquilibrage alimentaire. Une approche minceur axée sur une meilleure hygiène de vie, avec l’adoption de nouvelles habitudes alimentaires (plats équilibrés, quantités raisonnables, aliments sains) et la pratique du sport. Pour ce faire, deux méthodes s’offrent à nous :
- le déficit calorique qui consiste à réduire le nombre de calories ingérées chaque jour, tout en veillant à nourrir l’organisme des nutriments dont il a besoin
- l’augmentation de la dépense énergétique qui vise à brûler plus de calories grâce au sport
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Perdre du poids en fonction de l’âge
Non, nous ne sommes pas tou·te·s égaux face à la perte de poids. Celle-ci est dépendante de notre métabolisme de base qui correspond à l’énergie minimum dont le corps a besoin pour fonctionner au repos. Des besoins énergétiques qui diffèrent selon le sexe, le mode de vie, la génétique, l’environnement… et l’âge. En effet, une fois adulte, le métabolisme basal diminue de 2 à 3% par décennie, ce qui explique pourquoi il est généralement plus difficile de perdre du poids après 50 ans qu’à 20 ans.
A 30 ans
C’est en réalité autour de la trentaine que l’on note une certaine difficulté à perdre du poids. En effet, il s’agit d’un âge où le métabolisme baisse et où l’on commence à perdre en masse musculaire, notamment à cause de la baisse de production d’hormones pourtant essentielles à la croissance du muscle.
A 40 ans
Autour de 40 ans, le métabolisme continue de diminuer. De ce fait, il devient de plus en plus difficile de garder la ligne, surtout si l’on a une alimentation riche en graisses et que l’on ne pratique aucune activité sportive.
En raison de la chute d’hormones, la ménopause (pour les femmes) et l’andropause (pour les hommes) favorisent la prise de poids et le stockage des graisses, notamment autour de la zone abdominale. C'est ce qu’on appelle “la graisse viscérale profonde”, un phénomène qui concerne surtout les hommes de 50 ans (mais également certaines femmes ménopausées).
A 50 ans
A partir de 50 ans, le métabolisme ralentit considérablement. Résultat, on perd en force et en tonicité. C’est pourquoi il est plus que recommandé de travailler le développement musculaire à travers des exercices de musculation mais aussi des sports plus doux pour les articulations, comme les activités aquatiques, le fitness, la marche rapide ou encore le yoga.
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Les blocages psychologiques qui entravent la perte de poids
Ce n’est pas un scoop : perdre du poids demande un peu d’organisation, une certaine rigueur et beaucoup de motivation. En effet, il s’agit bien souvent d’une démarche longue et éprouvante pour le moral et l’estime de soi. Face aux objectifs que l’on se fixe, on a vite tendance à se décourager, à paniquer à l’idée de céder à la tentation ou de fournir des efforts en vain.
Pour accompagner votre perte de poids, il est donc primordial de vous libérer de certains blocages psychologiques qui peuvent mettre à mal vos ambitions.
Un besoin de réconfort
Pour beaucoup d’entre nous, la nourriture représente une source de réconfort. S’il est évidemment naturel d’éprouver du plaisir en mangeant, notamment des aliments gras, sucrés et terriblement régressifs, cela devient en revanche plus problématique quand il s'agit d'une stratégie de réponse face au stress, à l’angoisse et à la déprime. Pour envisager la perte de poids plus sereinement, il est donc recommandé de décorréler la nourriture réconfortante de nos émotions négatives.
Le cercle familial
Les “kilos en trop” peuvent aussi être l’un des nombreux traits héréditaires qui se transmettent de génération en génération. Pour certaines personnes, perdre du poids peut donc être vu comme un moyen de se défaire de cet héritage et générer un vrai sentiment de culpabilité. Pour d’autres personnes, la relation conflictuelle avec la nourriture a pu être conditionnée par un environnement familial toxique marqué, par exemple, par des remarques grossophobes et un culte de la minceur.
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Une mauvaise perception des calories
Que l’on suive un régime alimentaire amincissant ou non, il est important de comprendre que les calories ne sont pas nos ennemies, bien au contraire ! En effet, la calorie est l’unité de mesure de l’énergie. Consommer des aliments caloriques signifie donc donner de l’énergie à l’organisme. Si l’on peut bien sûr se référer au nombre de calories ingérées chaque jour pour accompagner nos objectifs de perte de poids, rappelez-vous que c’est surtout la valeur nutritionnelle d’un aliment que vous devez considérer. En effet, une pomme et un gâteau industriel contiennent peut-être le même nombre de calories mais seule la pomme est intéressante d’un point de vue nutritionnel.
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