Ces Pastabox sont à bannir de vos assiettes
Par Ameline Lieb
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Les plats préparés ont envahi nos courses express, mais certains méritent vraiment qu’on s’arrête sur leur composition. Notre diététicienne tire la sonnette d’alarme et pointe du doigt plusieurs références à éviter — dont une PastaBox bien connue. Voici ce qu’il faut retenir (et les réflexes à adopter pour ne pas se faire piéger).
Pourquoi cette PastaBox est dans le viseur
Parmi toutes les déclinaisons de pâtes prêtes à réchauffer, la PastaBox jambon‑emmental de Sodebo (aussi nommée « CremioBox » selon les versions) est particulièrement critiquée. Ce plat, très populaire dans les rayons snacking chauds, séduit par sa praticité, mais son arrière-plan est moins séduisant :
Une proportion élevée de graisses saturées, favorables au risque cardiovasculaire à long terme
Un mélange dense d’amidon raffiné, de sirop de glucose et d’additifs
Une composition qui, consommée répétitivement, peut déséquilibrer l’apport nutritionnel global
Notre diététicienne n’hésite pas à parler de « trop de chimie ». En d’autres termes, cette PastaBox offre davantage de commodité que de bienfait nutritionnel.
D’autres plats tout prêts sur la liste rouge
Salades prêtes à consommer
À première vue, elles paraissent saines. Mais beaucoup contiennent peu de protéines, des viandes ou œufs transformés, et un excès d’additifs ou d’ingrédients “liquides”. Le déséquilibre entre légumes, féculents et protéines est souvent loin d’un repas complet.
Le Tendre Croc’ de Herta
Ce sandwich prêt à réchauffer affiche un Nutri-Score D tout en combinant huile de palme, beurre et additifs. Pour 150 g, il dépasse souvent les 400 kcal — pour un confort très limité.
Papillote de saumon de Marie
Même un plat vendu comme “léger” peut cacher l’inverse. Cette papillote contient environ 9,4 % de lipides : un rapport protéines/lipides défavorable selon l’expert. Résultat : un plat qui semble sain mais qui pèse lourd dans l’assiette.
Ce que l’on peut retenir (sans paranoïa)
Ces plats ne sont pas condamnables s’ils sont consommés avec modération ou parfois en dépannage, mais ils ne doivent pas devenir la norme
Avant d’acheter, retournez le produit et étudiez l’étiquette : les ingrédients doivent refléter ce que promet la recette, pas l’inverse
Ne comparez pas uniquement les calories : regardez les graisses (et lesquelles), les sucres cachés, les additifs
Adaptez les portions : si l’assiette est trop copieuse, conservez une partie pour plus tard
Privilégiez les versions “faibles en sel” ou sans additifs connus, et verbalisez les écarts (un plat de pâtes de temps à autre, oui, mais pas tous les jours)
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