Les œufs sont une source nutritive de protéines de haute qualité, de vitamines (comme les vitamines A, D, E, B12) et de minéraux (sélénium, zinc, fer). Cependant, la question de la fréquence à laquelle il est recommandé de consommer des œufs a longtemps suscité des débats, principalement en raison de leur teneur en cholestérol. Voici un guide complet sur la consommation d’œufs, en tenant compte des bienfaits nutritionnels, des recommandations actuelles et des points à surveiller.
Vous avez beau essayé, rien n’y fait : quand l’appel du menu maxi Big Mac, frites, Coca sonne, vous courez le chercher ! Oui, vous êtes accro à la junk food, oui, vous ne pourriez pas vous en passer… Au point que ce soit impossible d’y arriver ? La junk food est-elle aussi dure à stopper que la drogue ? Réponses.
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Junk food = drogue ?
Imaginez si demain vous devriez vivre dans un monde où la junk food n’existe pas ? Imaginez être obligée de cesser de consommer burgers, frites, sodas et snacks du jour au lendemain ? Vous ne tiendrez pas, n’est-ce pas ? Même si vous les consommez occasionnellement, et que le restant de votre alimentation reste varié et équilibré, vous auriez du mal à tirer un trait sur cette malbouffe tant vous prenez du plaisir à la manger !
Et il semblerait que ce soit tout à fait normal selon une étude réalisée par des chercheurs à l’Université du Michigan en septembre dernier. Arrêter la junk food serait aussi dur qu’un sevrage, c’est vrai !
Pour mener cette étude, les chercheurs ont fait appel à 231 personnes, hommes et femmes âgés de 19 à 68 ans, qui avaient arrêté la consommation de junk food au cours de l’année passée. Le but était de faire une auto-évaluation sur cette expérience à l’aide d’un questionnaire ; évaluation centrée sur l’anxiété qu’avaient pu ressentir les participants.
En comparant les résultats obtenus avec les données d’un ouvrage de classification des troubles mentaux, les symptômes recensés à la suite de l’arrêt de la consommation de junk food étaient vomissements, crampes, transpiration, nervosité, humeur dépressive et grande irritabilité… Beaucoup de choses pour un simple sandwich et quelques pommes de terre frites, pas vrai ?
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Tout est question d’individualité
Mais attention, cette étude est à prendre avec des pincettes ! Bien qu’elle révèle la difficulté que l’on peut ressentir à arrêter la junk food, elle ne prend pas en compte certains paramètres qui sont propres à chacun.
En effet, chaque personne peut réagir très différemment au sevrage de la junk food. Cela dépend de la fréquence et de la quantité que la personne consommait avant de stopper, si cet arrêt s’est fait progressivement ou instantanément, mais encore selon l’environnement, le milieu social et l’état psychologique de base de la personne…
Vous avez du mal à l’arrêter, cette junk food ? Concentrez-vous sur vous-même et posez-vous les bonnes questions : est-ce seulement une question d’habitude ou bien un problème bien plus profond ? Comment réagiriez-vous si l’on vous empêche d’aller au fast-food du coin ? Que diriez-vous de plutôt réaliser des burgers et des frites maison bien plus sains et bons pour la santé ? Est-ce le goût du Big Mac qui vous rend accro ou le simple fait de manger un sandwich industriel sur le pouce sans que vous l’ayez préparé ?
Forcez-vous à aller de moins en moins au fast-food et voyez comment vous et votre corps réagissaient. Dans tous les cas, on vous rappelle que l’on peut et doit limiter la junk food pour rester en bonne santé.
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