On peut être célèbre et mal se sentir dans sa peau… Voici 10 stars qui ont décidé de perdre du poids.
Encore une étude qui démontre les méfaits de la lumière bleue pour notre santé…
Inscrivez-vous à notre Newsletter et recevez en CADEAU 15 recettes SPÉCIAL BRÛLE-GRAISSE !
Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université de Flinders en Australie, ne pas dormir dans le noir complet augmenterait le risque de développer cette maladie…
La lumière bleue impacte la qualité de notre sommeil
On le sait ; la lumière bleue des écrans impacte la qualité de notre sommeil puisqu’elle retarde l’endormissement. Si bon nombre de personnes ne peuvent s’empêcher de regarder la télé ou leur smartphone avant de s’endormir, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) est pourtant très clair :
« L’exposition à la lumière bleue des écrans stimule fortement les récepteurs de la rétine, envoyant de fait à l’horloge biologique un signal ‘de jour’ qui retarde l’endormissement et induit un retard de phase », explique-t-il.
La lumière artificielle augmente le risque de diabète de type 2
Mais au-delà de ce qu’elle implique sur la qualité de notre sommeil, la lumière des écrans représente-t-elle un risque pour notre santé ? Une question dont la réponse est étonnante…
Car oui, selon une étude récente menée par des chercheurs de l’Université de Flinders en Australie, la lumière artificielle augmenterait le risque d’être touché par une maladie bien précise, à savoir le diabète de type 2.
Les résultats de l’étude, publiés dans la revue The Lancet Regional Health - Europe, prouvent en effet que les personnes qui dorment avec une lumière artificielle allumée, comme une télévision ou une lampe de chevet, ont plus de risques de souffrir de diabète de type 2.
Pourquoi ? Car la lumière artificielle perturbe l'horloge interne du corps humain ; cette même horloge qui, si elle est déséquilibrée, augmente le risque de diabète de type 2. Aïe !
Cet article vous-a-t-il été utile ?
Merci pour votre retour.
Souhaitez-vous noter cet article ?
Nous sommes navrés.
Qu'est-ce qui vous a déplu dans cet article ?
Merci pour votre retour.